Y'a fatigue et fatigue
Y'a la fatigue quotidienne, classique, celle des grosses journée, celles des fins de semaine, celle dont on se remet avec une bonne nuit de sommeil ou avec un week-end tranquille.
Et puis il y a la fatigue de fond. Comme le traitement de fond. La fatigue qui est là et qui ne s'en va pas même après un bon gros dimanche de farniente.
C'est cette fatigue-là qui est en cause quand je manque tout. Quand je ne suis pas au rendez-vous, quand je suis à l'heure, mais au mauvais endroit, quand je lapsuse, quand je bégaye, quand je bugue, quand je me mange des rateaux et quand j'oublie les clés, quand je ne trouve pas la porte et que je tombe dans les escaliers.
J'en suis là. Je me connais, je sais que ça m'arrive. Le bug intégral : une fois par an, environ, je manque quelque chose d'important. L'acte manqué total. Comme si je n'avais pas eu l'info, que moncerveau disque dur avait fait "erase all".
A la fac, par exemple, une fois par an, j'ai manqué un cours important et je ne m'en suis rendue compte qu'aux appels inquiets de mes copains : "Ben t'es malade ? T'es où ?"
Malade ? Peut-être bien...
CC
Et puis il y a la fatigue de fond. Comme le traitement de fond. La fatigue qui est là et qui ne s'en va pas même après un bon gros dimanche de farniente.
C'est cette fatigue-là qui est en cause quand je manque tout. Quand je ne suis pas au rendez-vous, quand je suis à l'heure, mais au mauvais endroit, quand je lapsuse, quand je bégaye, quand je bugue, quand je me mange des rateaux et quand j'oublie les clés, quand je ne trouve pas la porte et que je tombe dans les escaliers.
J'en suis là. Je me connais, je sais que ça m'arrive. Le bug intégral : une fois par an, environ, je manque quelque chose d'important. L'acte manqué total. Comme si je n'avais pas eu l'info, que mon
A la fac, par exemple, une fois par an, j'ai manqué un cours important et je ne m'en suis rendue compte qu'aux appels inquiets de mes copains : "Ben t'es malade ? T'es où ?"
Malade ? Peut-être bien...
CC